AVC : prévention, et symptômes à reconnaître
Et si ce n’était pas qu’un mal de tête ?
Selon les statistiques de la World Stroke Organization, une personne sur six vivra un AVC dans sa vie, à l’échelle mondiale.
Mais tout le monde n’est pas formé à reconnaître les signes d’un problème cérébral.
On confond aussi souvent l’AVC (accident vasculaire cérébral) et la rupture d’anévrisme. L’AVC peut être hémorragique (avec saignement), comme la rupture d’anévrisme, ou ischémique, c’est-à-dire que quelque chose bouche une artère et arrête le flux de sang.
L’un et l’autre créent une modification de l’apport de sang vers le cerveau, ce qui peut avoir des conséquences mortelles ou des séquelles terribles.
La question qui se pose est de savoir comment reconnaître un potentiel AVC ? Si vous assistez à ces symptômes chez quelqu’un ou si vous avez vous-même du mal à parler, comme si votre langue ne vous répondait plus, qu’une partie de votre corps est engourdie, que votre visage s’affaisse ou se crispe, n’hésitez pas et composez le numéro des secours.
Les signaux, en effet, sont des troubles de la parole et de la motricité, avec une potentielle paralysie des membres ou du visage, des maux de tête avec parfois des problèmes de vue et d’équilibre…
Quelques automatismes peuvent réellement vous en protéger : éviter d’être en surpoids et de fumer, faire de l’exercice, veiller à ne pas avoir trop de tension ou de cholestérol, bref, prendre soin de sa santé !
Il faut également se souvenir que plus l’AVC est pris en charge rapidement, plus la victime a une chance de survivre et de récupérer sans trop de séquelles. Alors, soyez attentifs aux signes !
© Salud180
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